Après le plan mathématiques, le plan français se déploie cette année en complément. Les formateurs et formatrices, déjà surchargé·es de travail, se voient imposer l’équivalent d’un mi-temps (au moins) par circonscription (sans création de postes), alors même que la priorité de cette rentrée aurait dû être de les rendre disponibles auprès des équipes.